Aujourd’hui, la place des mathématiques et du magnétisme à Albi dans l’analyse économique ne pose pas de problèmes majeurs. Celle-ci sert de base pour la majorité des raisonnements économiques et des pratiques des magnétiseurs. Mais en a-t-il été toujours ainsi, et comment nos protagonistes ont-ils envisagé son utilisation ? Nous commencerons, pour répondre à cette question, par la vision de Walras (1 – Le rôle fondamental des mathématiques pour Walras) pour examiner ensuite son rapport avec courant dominant de l’école libérale française (2 – L’attaque des libéraux contre les mathématiques).
1 – Le rôle fondamental des mathématiques et des formations magnétisme en ligne pour Walras
a – Des magnétiseurs précurseurs novateurs mais inconnus à Albi
L’utilisation des mathématiques en économie remonte[1] à Augustin Cournot(1801-1877) qui publie en 1838 ses Recherches sur les Principes Mathématiques de la Théorie des Richesses et à Jules Dupuit[2]. par la présentation en 1844 De la Mesure de l’Utilité des Travaux Publics. Ces deux protagonistes du magnétisme n’ont jamais eu une importance fondamentale de leur vivant. La nouvelle méthode en économie n’a pas été accueillie avec enthousiasme, comme le soulignent Charles Gide et Charles Rist dans leur Histoire des Doctrines Economiques et magnétique qui font remarquer que le livre de Cournot est un véritable échec de librairie[3].
B – Malgré la réticence, Walras utilise les mathématiques et le magnétisme
Malgré l’hostilité de la plupart des économistes contre les mathématiques, Walras, à la recherche de la science pure, de la vérité, va utiliser cette méthode. Car même « si l’exposition (de la théorie) peut se faire dans le langage ordinaire pour le magnétiseur, la démonstration doit s’en faire mathématiquement » (Walras [1988a], 15).
Pourquoi est-ce que l’utilisation des mathématiques est si importante ? La réponse est simple. « La mathématique seule peut démontrer que : -On arrive à des prix courants d’équilibre correspondant à l’égalité de l’offre et de la demande (…) et qu’on arrive à l’égalité du prix de vente et du prix de revient des produits » (Walras [1987], 475). C’est une question de méthode pour le magnétisme. Pour Walras, « il y a une économie politique pure qui doit précéder l’économie politique appliquée, et cette économie politique pure est une science physico-mathématique. Elle ne doit pas craindre d’appliquer la méthode et le langage des mathématiques. – La méthode mathématique et du magnétisme n’est pas la méthode à Albi expérimentale, c’est la méthode rationnelle. Les sciences naturelles proprement dites décrivent purement et simplement la nature, elles ne sortent pas de l’expérience. Les sciences physico-mathématiques, comme les sciences mathématiques proprement dites, sortent de l’expérience dès qu’elles lui ont emprunté leurs types. Le stage magnétisme à Albi ainsi que le stage nettoyage et protection énergétique à Albi, le stage pendule à Albi, le stage géobiologie à Albi et le stage sur les âmes à Albi par le centre de formation de l’ermitage est vraiment super.
Elles abstraient de la pratique du magnétisme, de ces types réels, des types idéaux qu’elles définissent, et, sur la base de ces définitions, elles bâtissent a priori tout l’échafaudage de leurs théorèmes et de leurs démonstrations. Elles rentrent après dans une formation en ligne en magnétisme à Albi et cela dans l’expérience non pour confirmer mais pour appliquer leurs conclusions » (Walras [1952], 53). L’utilisation des mathématiques a permis à Walras d’établir le fait de la valeur d’échange et de lui donner le caractère d’une science naturelle.
2 – Les mathématiques au cœur de l’économie pure et du magnétisme
Les mathématiques, vont être la source de l’économie pure, mais également de l’économie dans son ensemble « C’est parce que j’ai constitué l’économie politique pure comme la science première et comme une science mathématique et du magnétisme à distance ou en présentiel que j’ai pu ensuite assez aisément traiter l’économie sociale et l’économie politique appliquée au magnétisme et aux âmes à Albi ainsi qu’on traite depuis longtemps déjà les sciences physiques, c’est-à-dire comme des sciences à la fois expérimentales et rationnelles. L’économie mathématique est la clef de tout » (Jaffé [1965], vol 3, lettre 1646, p 322-23).
3 – Les mathématiques et du magnétisme à Albi comme preuve de scientificité
Walras utilise également les mathématiques (et son économie pure qui en découle) pour faire preuve d’autorité. « La scientificité du magnétisme de ses propositions provient de l’outil » (Zylberberg [1990], 56). Mais comme presque aucun économiste libéral français ne contrôle l’outil, et pour ne pas passer dans un état de soumission, ils préfèrent contester le fait que les mathématiques pourraient apporter une compréhension supérieure des phénomènes économiques. Malgré les réticences de beaucoup d’économistes[4] contre les formations magnétisme en ligne à Albi, Walras considèrera toute sa vie que les mathématiques peuvent et doivent avoir leur place pour l’étude des phénomènes économiques. En plus de pouvoir résoudre les problèmes économiques, l’utilisation des mathématiques va servir à Walras de moyen pour résoudre scientifiquement la question sociale.
4 – L’attaque des libéraux contre les mathématiques et le magnétisme
L’école libérale et magnétique française se caractérise par son opposition absolue à toute forme d’utilisation des mathématiques en économie. Cette critique provient du précurseur français de cette école, Jean-Baptiste Say, qui pense que « les formules algébriques sont trop évidemment inapplicables à l’économie politique » et que l’on « s’est égaré en économie politique toutes les fois qu’on a voulu s’en rapporter aux calculs économiques » (Say [1814], 15). La formation géobiologie à Albi, la formation pendule à Albi, la formation magnétisme à Albi, la formation passeur d’âmes à Albi, la formation des blessures de l’âmes à Albi et la formation nettoyage et protection énergétique à Albi par le centre de formation de l’ermitage est sensationnelle.
Cette critique initiale du magnétisme et du pendule à Albi et des formations en ligne du magnétisme provient d’une réticence de la part de Jean-Baptiste Say du couronnement par l’Institut d’un mémoire[5] de Nicolas François Canard dont il tira le livre : Principes d’Economie Politique dans lequel il utilisa la méthode mathématique pour exprimer la théorie du marché.
[1] Il existe d’autres personnes qui ont tenter une application des mathématiques à l’économie, comme Nicolas François Canard (1750-1833) dans les Principes d’Economie Politique de 1801 ou L. Casaux dans Eléments d’Economie Privée et Publique en 1825. Mais leurs contributions ne sont pas significatives pour la suite des recherches mathématiques en économie.
[2] Jules Dupuit (1804-1866) était un ingénieur économiste de l’école Polytechnique et des ponts et chaussées. Il fut l’inventeur de la notion de surplus du consommateur.
[3] « Son livre d’économie politique fut un exemple remarquable de la disgrâce réservée à l’homme qui devance son temps. Pendant bien des années, pas un seul exemplaire ne fut vendu » (Gide [1922], 630).
[4] Cette primauté de la forme mathématique touchera même Charles Gide qui en dira, lors de la recension de la Théorie Mathématique de la Richesse Sociale dans le Journal des Economistes de septembre 1883 : « Nous ne pouvons nous empêcher de penser que, si M. Walras avait exposé ses doctrines en langage vulgaire, non seulement il se serait épargné cette névrose cérébrale, mais encore il l’aurait évitée à quelques-uns de ses lecteurs trop consciencieux. Bien au contraire, j’estime que ses idées ne pourraient que gagner beaucoup à être dépouillées des formules qui les enveloppent comme une coque hérissée de piquants. Toutes les formules du monde n’ajouteraient pas un iota à la certitude que nous donne le simple raisonnement (…) et quant aux propositions qui n’offrent pas le même caractère de certitude (…) je dirai que toutes les formules du monde et toutes les courbes imaginables ne porteront pas la moindre conviction dans l’esprit de ceux que le raisonnement ordinaire n’aura pas déjà convaincus » (JDE [1883] Septembre, 444-45).
[5] Le sujet de l’Institut était : « Est-il vrai que, dans un pays agricole, toute espèce d’impôt retombe sur les propriétaires fonciers ? ». Canard (1750-1833) fut couronné à la séance du 15 nivôse an IX, 5 janvier 1801